De la Nature des choses

Quand Franck Delplace, "le fluide espace-temps" que je cite dans "de la Nature de nos lois physiques" ou, "la surface des choses" dont je lui expliquais sa "viscosité" de l'espace-temps" par  sa nature riemannienne dont s'en suivit des échanges, me "brancha" sur la fonction Zêta de Riemann, travaillait sur une interpolation de ses valeurs impairs, Zêta je connaissais mais sans plus, je lui répondis ; " De toute façon, Log(i) = i pi/2 c'est n'importe quoi". Il me répondit ; "mais pourquoi tu dis çà, c'est écrit partout ? ". Ceci m'obligea à développer ; i n'est pas égal à e^(i pi/2) mais à  1.e^(i pi/2), e^(i pi/2) n'est que le signe de i, un signe nul ; prendre le log d'un signe...? Et çà pourrait bien expliquer pourquoi tous les zéros non triviaux de sa fameuse "conjecture" seraient bien tous sur la droite 1/2... ;                                               ...

  Dans son ouvrage qui relate son travail sur l'amortissement Landau, "Le théorème vivant", Cédric Villani cite la suite de Syracuse comme pb mathématique anecdotique mais qui ne manquerait de donner une notoriété éphémère à l'auteur de la preuve. Je lui avais adressé mon travail sur ce sujet, oui je m'y étais intéressé pour les raisons que l'expose ici, mais sans plus de retour. Quelle ne fut pas ma surprise, quand reconsultant la page actualisée de Wikipédia qui lui est consacrée celle-ci reprenait ces éléments alors que mes ajouts à la page consacrée au log complexe suite à mes travaux présentés à coté, ne durèrent pas une demi heure...effacés par les "superviseurs". Dans cette version je n'avais pas fait ce travail sur les  "units" qui pourraient bien en être la clef présenté ici : Sur la suite de Syracuse

Nos équations de la physique sont elles propres à "Dame Nature" ou que l'expression de ce que nous en percevons ? Quand je fis part de ces réflexions à Cédric Villani profitant de son invitation dans son ouvrage "Le théorème vivant" relatant son travail sur l'amortissement Landau qui lui valu sa médaille Fields, il me répondit que je posais des "questions fondamentales", fondamentales :-) Quelque temps plus tard, approfondi le truc, j'en fis part à Gabriel Chardin, en charge des grands projets au CERN et d'une expérience de "pesage" de l'antimatière, qui me répondit aussi.  La dernière partie est inspirée par son dernier ouvrage; "L'insoutenable gravité de l'Univers" : De la nature de nos lois physique